mercredi 16 décembre 2015

Quatrième volet de l'ITV de NABIL OUALI



Hop on enchaîne sur une quatrième page de cette ITV participative

Pour lire ou relire les propos précédents :









Mae govannen !

Bienvenue, salut/salam/shalom... fanfares et ritournelles, canards et tourterelles, cafards et grosses sauterelles.

Alors... que je vous explique... Les administratrices de BookEnStock, mesdames Dup&Phooka, qui ont déjà tenté de couler ma jeune carrière avec deux horribles chroniques, ont décidé de me consacrer un « Mois de... ».  Histoire de m'achever, une bonne fois pour toutes.
Quand Dup m'a demandé si j'étais intéressé, je me suis d'abord demandé quel genre de réponse elle attendait. « Hmmoui... allez, pourquoi pas... ? », « oh, chouette alors... ! ».

Évidemment, j'ai refusé. En substance, j'ai du répondre quelque chose comme « JAMAIS, PLUTÔT CREVER !! ».
C'est très mal passé, et l'affaire a pris d'inattendues disproportions : elles m'ont fait chanter, j'ai pleuré (un peu), puis j'ai cherché sur les internets pour trouver un tueur à gages... et en fait c'était bien au-delà de mes moyens, financièrement parlant. DU COUP, je me suis dit « fais de la promo pour tes bouquins, gagne plein de fric, et tu pourras l'engager ! »
Pas fou, le filou.
Donc, si je suis ici, c'est uniquement pour vendre mon bouquin (n'allez pas vous imaginer des bêtises, svp), pour pouvoir engager Tony le Marrant, pour qu'il s'occupe de ces geôlières, pour qu'elles ne m'obligent pas à faire ce « Mois de... ».
Un plan ingénieux, s'il en est.

Enfin bon, tout ça pour dire... J'ai subi moult interrogatoires au Koweit, au Liban (notez l'anagramme fameux), au Pérou et plus récemment à Versailles, quand un type m'a effrontément demandé l'heure devant au moins cinq personnes.
Autant vous dire, je suis blindé. Mais alors, indestructible. Vous pouvez balancer toutes vos questions, je ne vous lâcherai rien ! Je ne participerai pas à cette mascarade !

D'ailleurs, comme je suis d'humeur exécrable, je vais prendre les devants et prévenir certaines questions en balançant immédiatement les réponses. Ouais, je crache sur le système et ne respecte rien.

Je m'appelle Nabil Ouali, j'ai 24 ans (âge provisoire), j'ai grandi dans les Hauts-de-Seine et j'y vis toujours. Mon numéro de sécu est le 190129206406999. Comme tout le monde (à en croire 102% des CV de ce pays), j'aime la musique, j'aime sortir avec mes amis et j'aime m'amuser. Des fois que vous en douteriez.

Sinon, grosso merdo, j'ai cinq centres d'intérêts majeurs :
        l'écriture,
        les arts martiaux,
        la philosophie,
        le cinéma,
        les jeux vidéo/de rôle

Toute question posée sur un de ces sujets sera rejetée avec une véhémence toute particulière.


Bisous bisous... et haut les cœurs !




****************************************




Dup :



Parlons de cette carte...je trouve étonnant que personne n'en parle. Ohé les filles (ben oui, je n'ai vu que des nanas intervenir), vous en pensez quoi de la carte dans le livre ? Vous avez réussi à comprendre, à suivre dessus ? Il n'y a que moi qui râle alors ?



Déjà je n'arrivais pas à lire les noms des villes... bon ok, on dira que c'est l'âge. En revanche on sent bien que tu n'as pas kiffé les cours de géo Nabil ! Avec les couleurs ça va mieux, mais sans, argh ! Tes cours d'eau c'est un vrai poème ! Je te rappelle, ils naissent en hauteur et descendent vers la mer ou l'océan. Je t'accorde à la limite un atterrissage dans les marais. Mais ceux qui se perdent dans les forêts, les bois voire même en montagne, non !

Tout cela pour te poser les questions suivantes : Dans quel ordre tout cela a surgit dans ta tête ? L'histoire puis la carte ou l'inverse ? Comment et pourquoi tu l'as conçue ? 
Puis, est-ce qu'on va se balader dans de nouveaux coins au tome 3 ? Nan parce que j'aimerai bien savoir l'origine historique nabilienne de la Voie du bellâtre ! :) 


Nabil :

Mais quelle mauvaise langue cette Dup... !


L'Elunthryl, donc, le grand fleuve de Ferva, prend sa principale source en pleine montagne, au royaume d'Ysabar, près de la Coulée du Givre et de la maison des parents de Frimas. Je vois pas ce qui te choque, du coup... non mais !
Certains bras du fleuve ne sont pas entièrement représentés parce qu'il y a ceux qui se séparent en de moindres ramures, et qui ne méritent pas d'être représentées, ceux qui s'assèchent en cours de route, bus par les vastes cultures de Lamborre ou de Sulividel (oui, je m'en tape) et ceux qui prennent des chemins souterrains...


L'histoire est venue d'abord, j'ai dessiné la carte au fur et à mesure pour me repérer et jauger les distances, notamment pour pouvoir apprécier la longueur des trajets, les moments où il semblait adéquat de changer de personnage... Le souci de cohérence temporelle m'importait bien plus que de basses considérations géographiques (ce pour quoi je suis, avouons-le, une incroyable brêle)... :D


Le tome 3 sera effectivement l'occasion d'en apprendre un peu plus sur les régions occidentales de l'Empire, Sulividel et la Cité des Arts... et peut-être même la fameuse Voie du Bellâtre... ! Mais quand je regarde la carte, je me dis que pour l'instant on a pas mal bourlingué. Toutes les régions ne doivent pas être exploitées... ce serait comme résumer la géographie d'un monde au seul souci de construire une histoire.

Les chemins souterrains... mais si, bien sûr ! 
Mais oui, tu as raison, on s'en tape :)) 

Et pardon à Hugo que j'ai traité de nana, oops.



Julia :


Maintenant que tu as allègrement abusé de ton joker : 

Quelle est la question que tu aimerais qu'on te pose, et que l'on ne te pose jamais ? =P 

Nabil :

Traîtresse.


Honnêtement, cela fait bientôt 1h30 que je planche là-dessus, alors je doute de pouvoir trouver une question que j'aimerais qu'on me pose.
Il n'y en a vraiment aucune qui me vienne à l'esprit.


C'est sans doute une bonne chose, non ?



Jean-Luc Rivera :

Quel est ton cocktail préféré ?

Nabil :


Un diabolo violette.



Irène :

Salut ! Tiens, parlons un peu festivals et dédicaces. Qu'Est-ce que ça t'a fait la première fois, de rencontrer en vrai des lecteurs (ou plutôt, des hordes de lectrices rougissantes en émoi) ? Peux-tu nous raconter une anecdote marquante (ton meilleur ou pire souvenir) ? Quel est ton festival préféré ? Quel est ton voisin de table préféré ? Es-tu jaloux du T-shirt licorne de Mathieu Rivero ?
Voilà, je crois que c'est tout ;)
A une prochaine fois (j'arriverai peut-être à passer la barrière des admiratrices plus longtemps cette fois-ci)

Nabil :

Salut Irène ! 


"Qu'est-ce que ça t'a fait la première fois, de rencontrer en vrai des lecteurs (ou plutôt, des hordes de lectrices rougissantes en émoi) ?"

Alors, si tu m'as vu en compagnie de hordes de lectrices rougissantes en émoi, c'est probablement parce qu'il fait très chaud dans la plupart des salons et qu'en fin de journée, il est plus difficile de s'exprimer en raison de la fatigue. Le reste, ce n'est qu'une histoire de mécanique des fluides appliquée aux foules, conjuguée à l'excitation d'avoir acheté plein de beaux bouquins, ce qui te donne probablement cette impression de "horde".
Mais pour répondre à ta question, je me suis senti très (très) petit.

"Peux-tu nous raconter une anecdote marquante (ton meilleur ou pire souvenir) ?"

C'est vrai que je repense à cette année et ça me fait déjà plein de bons souvenirs... sans parler de toutes les belles personnes que j'ai pu rencontrer... mais le souvenir le plus marquant, c'est sans conteste la fois où j'ai rencontré une certaine Julia.

Mon pire souvenir ? Hmm... j'hésite. Aux Imaginales, le jour où Adrien Tomas a révélé au monde le genre de cri que je pouvais faire en situation de détresse gravitationnelle. Sinon plus récemment, pendant une dédicace, quand une dame qui sentait (vraiment) l'urine moisie s'est mise à renifler mes livres. Mais je pense qu'Adrien est vachement plus angoissant, quand même. 

"Quel est ton festival préféré ?"

Oh c'est délicat... comment ? Pas de langue de bois sur Bookenstock ? Allez, un peu quand même. Non, vraiment, je ne saurais pas dire. La plupart des festivals ont un charme particulier, et je ne pourrais sincèrement choisir. 

"Quel est ton voisin de table préféré ?"

Mais... tu veux vraiment m'attirer des ennuis, en fait. Là encore, c'est très difficile, j'ai eu la chance de signer à côté de certains des meilleurs troubadours de l'imaginaire... Bon. J'admets qu'avec Fabien Cerutti et Morgane Caussarieu, on déconne bien. Hélène Larbaigt, Estelle Faye et Mathieu Rivero sont des crèmes de gentillesse, c'est vrai. Nicolas le Breton, Etienne Barillier et Artur Morgan, tu peux tripoter leurs gadgets steampunk trop cools... Ah oui, y a Laurent Whale aussi, et puis, et puis...

"Es-tu jaloux du T-shirt licorne de Mathieu Rivero ?"

Humph.

"A une prochaine fois"

Bien... à une prochaine, Irène ! Merci d'être passée !!



Ramettes :

Bonjour,
Je suis en plein tome 2... enfin me direz vous!! Je m'y sens plus à mon aise... mais ça je raconterais dans ma chronique. 
Dup tu sais comme j'ai les cartes dans les livres ... dans celle-ci un truc me gêne je ne vois pas la mer... ça doit venir des couleurs. Lol.
On disait l'autre jour qu'il y avait pas trop de femmes... Heureusement que Tara est arrivée.. 
Bon là je n'ai pas de question en particulier.
Ma question (si elle n'a pas été posée ) Le fait d'avoir été publié si jeune -pour un premier roman- ça t'a aidé à continuer ou cela t'a dans un premier temps fait peur de commencer le deuxième roman? Le fait que ce soit une suite c'était une pression en moins ou en plus?

Nabil :

Bonjour ! 


Oui, heureusement que Tara est arrivée. C'est un soulagement pour moi aussi.Quant à la place des femmes dans le récit, je crois qu'Aearonêl et Glawol ont un avis assez précis sur la question... 

"Le fait d'avoir été publié si jeune -pour un premier roman- ça t'a aidé à continuer ou cela t'a dans un premier temps fait peur de commencer le deuxième roman? Le fait que ce soit une suite c'était une pression en moins ou en plus?"


Déjà, je n'ai pas vraiment de quoi comparer, vu que c'est la première fois que j'ai (presque) 25 ans.Mais je vais arrêter de faire l'idiot, parce que je trouve cette question redoutablement intéressante. Le deuxième roman a été plus difficile, oui et non. Je m'explique, en essayant d'être sincère.


Pour le premier, c'était le grand voyage dans l'inconnu. Cependant, la formule était simple : travaille, essaye, envoie, avise. La pression, je me la mettais tout seul (avec un peu d'aide, certes)... mais la peur d'échouer était quand même compensée par le fait que je n'avais pas grand chose à perdre.Pour le deuxième, c'était complètement différent. A présent, j'avais peur de décevoir. C'était comme si j'avais obtenu le Graal, et m'angoissais à l'idée qu'on vienne m'en priver. Sans parler du fait qu'il semble communément admis dans le milieu que le 2ème roman c'est la "confirmation", le tournant, le moment où on ne pardonne plus les "erreurs de jeunesse". Donc j'étais clairement pas dans les mêmes préoccupations que pour le 1er.


Comment j'ai fait pour me dépêtrer de ce souci ? (oui, je pose les questions maintenant, zéro vergogne)
Bien, j'ai juste essayé d'avoir le même esprit pour le tome 1, en essayant de travailler aux défauts que Coralie et moi m'avions reconnus. Comme je l'ai dit dans une autre réponse : la narration et sa clarté, principalement.


XL :

Je fais partie de celles qui ne regardent jamais les cartes dans les romans, car j'aime bien laisser parler mon imagination donc du coup une illustration ça fige un peu trop les choses à mon goût
ceci étant, j'ai commencé à lire le tome 1 et je trouve les personnages intéressants, mais les choses ne font que se mettre en place
une question concernant le style, les tournures sont très travaillées, ça te vient comme ça et tu écris tout ce qui te vient et ensuite tu améliores, ou bien tu es le genre d'écrivain qui fait un plan, prépare une structure ou qui réfléchit longtemps avant de commencer à écrire, et alors dans la phase d'écriture les choses sont déjà presque dans leur forme finale
pardon si la question a déjà été posée, je n'ai pas fini de lire toutes les itv

Nabil :

J'aurais tendance à distinguer réellement deux types de travaux dans l'écriture : le fond et la forme (original, n'est-ce pas ?). Bien que les deux soient intimement contigus, je considère vraiment qu'il s'agit de deux démarches différentes, avec des soucis différents, des méthodes différentes... et des enjeux différents.


Pour le fond, j'établis un plan général consistant en "étapes essentielles" ou "scènes puissantes", que je relie ensuite par des fils de narration qui me semblent cohérent/judicieux. Je n'ai jamais vraiment étudié l'art du scénario, je ne sais pas à quel point cela peut me porter préjudice, ou même si cela se ressent. Bref, tout ce qui passe entre ces étapes narratives relève largement de l'improvisation, quitte à retravailler après-coup pour que tout aille bien ensemble. Cela dit, quelqu'un avait dit qu'on sentait dans mon roman davantage un cinéphile qu'un lecteur, et je crois que ça en dit long sur la manière dont je construis une histoire.
Et même si je sais déjà comment l'histoire se terminera, à priori, je m'autorise plein de surprises. ;)


Pour la forme... et bien, c'est quand même foutument plus compliqué. Je ne pourrais décemment pas dire que cela vient "comme ça". Il arrive, de temps en temps, qu'une phrase sorte tel quel, sans y penser plus que ça, et que je ne ressente pas l'envie d'y retoucher. Mais la plupart du temps, je construis mes phrases en les écrivant, en les répétant à voix haute, en essayer de trouver une certaine harmonie. Je reviens souvent dessus et les améliore dés que je peux.
Pendant l'écriture du T.1 je me suis rendu compte que ce procédé devenait de plus en plus naturel, mécanique, et c'est peut-être la raison pour laquelle le T.2 peut sembler plus... "naturel" justement, plus spontané. Une amie a dit que je donnais moins l'impression d'avoir quelque chose à prouver, et je pense qu'elle a raison, il y a aussi un peu de ça. 
Autrement, je compte mes syllabes, tout le temps. Pas qu'il y ait un nombre de syllabes magique qui marche à chaque fois, l'idée n'est pas de faire que des alexandrins, il s'agit surtout de se débrouiller pour qu'une phrase soit construite de telle sorte à ce qu'elle puisse être prononcée sans accroc. C'est ce qui me plaît, dans l'écriture : essayer de construire des phrases qui se chantent toutes seules en même temps qu'elles sont lues. Cela m'amène souvent à préférer un mot plutôt qu'un autre, à changer un détail arbitraire dans l'univers pour satisfaire la métrique du texte. Les mots monosyllabiques, d'ailleurs, sont une véritable plaie, et c'est la raison pour laquelle je préfère utiliser des nuances de couleurs précises, plutôt que "rouge/bleu/vert/jaune/noir/blanc/rose"....


Ramettes :

Au fait c'est quoi des yeux lavallieres ? (p.59)

Nabil :

C'est une nuance de brun. D'ailleurs il y a une coquille, ce mot étant invariable (comme si ça avait quelque espèce d'importance... m'enfin).


re Ramettes :

Ce n'était pas trop déstabilisant de dire "il" alors que c'est "elle" ? Parce que moi après la révélation du secret ça me faisait bizarre... En même temps je comprend puisque il n'y a pas eu de coming out. Ça va je n'ai pas spolié ?

Nabil :

Ben en fait... un peu, quand même.


Mais pour répondre à ta question, ce n'était pas si déstabilisant dans la mesure où les deux conviennent. L'utilisation d'un "il" ou d'un "elle" est purement contextuelle. Il n'y en a pas un qui soit plus adéquat que l'autre.


rere Ramettes :)


Merci pour les réponses précédentes. .
En complément : pour le tome 3... le fait d'avoir des retours de lecteur va t il t'influencer dans tes choix ou as tu tout en place dans ta tête et tu n'y déroger pas ?

Nabil :


Tout n'est pas en place dans ma tête. Comme je le disais dans une autre réponse, j'ai un plan non détaillé qui m'autorise beaucoup d'improvisation, et je me laisse souvent surprendre par des idées auxquelles je n'avais pas pensé plus tôt. Donc je peux constamment déroger à ce qui est prévu (dans une certaine mesure, parce que je sais comment je veux conclure).
Les retours de lecteur sont à prendre avec d'infinies précautions. Il arrive que certain(e)s critiques/chroniques/avis/commentaires pointent une faiblesse objective et structurelle, et cela peut m'aider à y voir plus clair sur la manière dont je pourrais m'améliorer sur le tome suivant. Mais pour tout ce qui concerne le style et la trame, c'est impossible. Simplement parce que cela reviendrait à décevoir une partie des lecteurs pour satisfaire l'autre, ce qui n'a pas de sens.


Pour prendre un exemple :
Si certains lecteurs m'invitaient à favoriser Frimas plutôt que Ravel, dans l'issue de leur affrontement, et que je m'y pliais... Ceux qui m'auraient invité à favoriser Ravel se trouveraient déçus...
Comment ? C'est... ? Impossible ? Personne ne préfère Ravel ? Ah, oui, mauvais exemple.


Bref, tu as compris l'idée. :D



Direction la cinquième page ►►►

12 commentaires:

Dup a dit…

Jean-Luc Rivera : " quel est ton cocktail préféré ?"

=D

Irène a dit…

Salut ! Tiens, parlons un peu festivals et dédicaces. Qu'Est-ce que ça t'a fait la première fois, de rencontrer en vrai des lecteurs (ou plutôt, des hordes de lectrices rougissantes en émoi) ? Peux-tu nous raconter une anecdote marquante (ton meilleur ou pire souvenir) ? Quel est ton festival préféré ? Quel est ton voisin de table préféré ? Es-tu jaloux du T-shirt licorne de Mathieu Rivero ?
Voilà, je crois que c'est tout ;)
A une prochaine fois (j'arriverai peut-être à passer la barrière des admiratrices plus longtemps cette fois-ci)

Ramettes a dit…

Bonjour,
Je suis en plein tome 2... enfin me direz vous!! Je m'y sens plus à mon aise... mais ça je raconterais dans ma chronique.
Dup tu sais comme j'ai les cartes dans les livres ... dans celle-ci un truc me gêne je ne vois pas la mer... ça doit venir des couleurs. Lol.
On disait l'autre jour qu'il y avait pas trop de femmes... Heureusement que Tara est arrivée..
Bon là je n'ai pas de question en particulier.
Ma question (si ell n'a pas été posée ) Le fait d'avoir été publié si jeune -pour un premier roman- ça t'a aidé à continuer ou cela t'a dans un premier temps fait peur de commencer le deuxième roman? Le fait que ce soit une suite c'était une pression en moins ou en plus?

XL a dit…

je fais partie de celles qui ne regardent jamais les cartes dans les romans, car j'aime bien laisser parler mon imagination donc du coup une illustration ça fige un peu trop les choses à mon goût
ceci étant, j'ai commencé à lire le tome 1 et je trouve les personnages intéressants, mais les choses ne font que se mettre en place
une question concernant le style, les tournures sont très travaillées, ça te vient comme ça et tu écris tout ce qui te vient et ensuite tu améliores, ou bien tu es le genre d'écrivain qui fait un plan, prépare une structure ou qui réfléchit longtemps avant de commencer à écrire, et alors dans la phase d'écriture les choses sont déjà presque dans leur forme finale
pardon si la question a déjà été posée, je n'ai pas fini de lire toutes les itv

Ramettes a dit…

Au fait c'est quoi des yeux lavallieres ? (p.59)

Ramettes a dit…

Ce n'étais pas trop déstabilisant de dire "il" alors que c'est "elle" ? Parce que moi après la révélation du secret ça me faisait bizarre... En même temps je comprend puisque il n'y a pas eu de coming out. Ça va je n'ai pas spolié ?

Ramettes a dit…

Merci pour les réponses précédentes. .
En complément : pour le tome 3... le fait d'avoir des retours de lecteur va t il t'influencer dans tes choix ou as tu tout en place dans ta tête et tu n'y déroger pas ?

Julia a dit…

Je ne sais pas comment je me risque encore ici...

Je rebondis sur ta réponse à Ramettes :
Mais toi, tu préfères Ravel ou Frimas ? :P

Dup a dit…

Ouééé, cool Julia !
Installe toi, je t'en prie. Tu es thé ou café ?

Allisonline a dit…

Perso, je regarde jamais, mais alors jamais les cartes.
Et je trouve que Ramettes spoile grave !
Et que Frimas c'le meilleur.
Aucune question, je fais que passer ! ;)

XL a dit…

merci pour cette réponse très complète, c'est très intéressant cette manière de construire la forme. je me souviens justement d'une juxtaposition de couleurs pour laquelle la formule m'a interpellée d'où ma question précédente : " ... que ses yeux céladon sertissaient comme deux saphirs délavés."
sinon je trouve aussi que Ramettes spoile mais je ne vais pas chercher à comprendre qui !!

Mariejuliet a dit…

J'adore la version coloriée vue sur facebook, ça m'a bien fait marrer :-)