mercredi 1 octobre 2014

Premier tome de l'interview de Laurent Whale














Hello les tous ! (formule brevetée)







Nous voici donc amis pour la vie pendant un mois. Comme le veut la tradition, vous pouvez donc dès à présent me poser toutes les questions que vous désirez.



Oui, même celles que vous n’oseriez mentionner à votre psy. J’y répondrai bien entendu avec toute la mauvaise foi requise en pareille circonstance !



Blague à part (je sais, c’est moyen drôle !), le Chapternator et moi-même nous ferons un plaisir de dévoiler tous nos secrets, depuis le massacre de chapitres à la chaîne, en passant par l’art de la procrastination active et jusqu’à l’absorption de liquides stimulants pour les glande imaginatives.



Ma vie, mon œuvre et ma recette du cocktail d’escargots en tartare (c’est beurk, mais ça débarrasse des fâcheux).

Voilà, je crois que tout est dit, à vous les studios !



Astuce :

Les questions à éviter :

- Le montant de mes droits d’auteurs pharaoniques,

- La fin de mon prochain roman,

- Le téléphone de mon psy,

- Ma recette des bouchées au foie de hanneton (il y a des choses sacrées, tout de même)



Sinon, vous pouvez me tacler pour mon humour pourri, j’ai l’habitude.



Laurent.


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Violaine B.

Bonjour. Je commence ce mois de en remerciant le blog déjà de m'avoir fait découvrir Laurent Whale. Je ne connaissais pas du tout votre oeuvre et en lisant Goodbye Billy j'ai trouvé que vous aviez une imagination débordante. ..ou puisez vous votre inspiration? ?




Laurent:
Bonjour Violaine,

Question judicieuse. D'où vient donc l'inspiration ?
En ce qui me concerne, je me contente de garder un esprit ouvert à ce qui se passe autour de moi. Dans le monde, dans la vie en général. Parfois, une idée surgit d'une phrase mal entendue, d'une discussion sur un tout autre sujet mais qui déclenche une association d'idées. Une cascade de "et si ?" ou de "et pourquoi pas ?".
Dans Billy, l'idée de fond est venu en voulant lier un évènement présent à un personnage historique. Bien entendu, il a fallu en trouver un dont la mort posait débat, de manière à pouvoir agir sur les deux trames de l'intrigue. L'historique et la contemporaine.





Salut Laurent, moi je voudrais savoir qui sera le personnage célèbre qui sera au centre de la prochaine enquête des Rats de poussière ??



Laurent:

Bonjour Lune,

Je suis actuellement à la moitié de la rédaction du prochain opus des Rats depoussière, l'équipe qui mène l'enquête dans Goodbye Billy. Je peux donc dévoiler (après consultation de mon éditeur), que le prochain personnage historique point de départ de l'épisode 2 sera.... Robinson Crusoé !
Et oui, l'homme a réellement existé, sous un nom différent, et n'est pas resté 28 ans sur l'île, comme l'avait écrit Defoe, mais "seulement" 4.
Il y aura, bien sûr, une galerie d'autres crapules contemporaines en bonus ;-)





Bonjour Laurent, moi j'aimerais savoir pourquoi tu maltraites tous ces chapitres, pourquoi tant de haine ? ;) 

Laurent:


Bonjour Xapur,


Parce que la maltraitance n'est pas encore punie pour les chapitres, même mineurs ;-)
Sans rire, en fait si j'ai lancé cette "routine" c'est simplement parce que ça me motive pour écrire. Je sais qu'il y a des gens qui attendent le compteur de chapitres et je suis donc "obligé" de m'y tenir.
Sans compter que les délais, avec la vie en dehors de l'écriture à gérer, ne sont pas toujours faciles à tenir. Pour l'instant (depuis 3 ans) je maintiens le rythme d'un roman annuel, plus quelques nouvelles pour des AT, si j'ai le temps.



Sia 

Bonjour Laurent Whale et merci d'accepter de répondre aux questions dont même le psy ignore la réponse ! (Au passage, merci à Bookenstock). 
J'ai découvert Les Damnés de l'asphalte, et la première question qui m'est venue à l'esprit est : pourquoi avoir choisi l'Espagne comme décor ? (Pourquoi pas la Creuse, la Bretagne, ou la Corse ?). La lecture m'a donné furieusement envie d'aller traîner mes savates sur les côtes catalanes. 


Laurent:



Bonjour Sia,

L'Espagne a été le choix qui s'imposait car la famille Costa et consorts avaient émigré dans le sud, aux pieds des pyrénées. Les faire remonter vers la Bretagne n'aurait généré qu'une redite de leur voyage inverse. Comme dans ce 2eme tome, ils ne sont plus en avion, les distances sont donc nécessairement plus courtes. L'Espagne a donc été une destination à la fois exotique et proche géographiquement.
Pour la Corse, même remarque, c'est encore la France (pardon, ne plastiquez pas la niche du chien !) ^^
mais, les aventures des Costa sont prévues sur 4 volumes. Le prochain sera plus lointain et encore plus exotique... Les moyens de transport changeront également! Pour l'instant, un gros tiers est écrit, je devrais en terminer la rédaction dès que je boucle le deuxième épisode des Rats de poussière (l'équipe de Goodbye Billy, mon thriller historique)




Mariejuliet 

Bonjour Laurent,
Une question classique pour commencer : Qu'est-ce qui t'as amené à l'écriture ?




Laurent:


Bonjour Mariejuliet,

Encore une bonne question!
j'ai commencé d'écrire comme un jeu à quatre mains avec ma copine de l'époque (il y a 8 ou 9 ans). Nous avons commis une histoire de SF façon space-op mâtiné de sexe ! Mais ça m'a donné envie de voir si j'en étais capable seul. alors, j'ai goupillé un 2eme roman, dans le style du Fleuve noir Anticipation, très daté même à l'époque. J'ai eu l'outrecuidance de l'envoyer à des maisons d'édition et je suis donc à la tête d'une jolie collection de lettres de refus pour celui-ci !
Puis, j'ai rencontré le merveilleux Alain le Bussy, qui m'a gentiment reçu chez lui et appris les rudiments de l'écriture efficace. L'envie est vraiment arrivée à ce moment-là. Quand j'ai pu enfin concrétiser le premier rêve d'une longue série : mon 3eme roman écrit fut publié chez Rivière Blanche (Le chant des psychomorphes). merci à Philippe Ward, que l'ombre de son ombre soit bénie pour les siècles et les éons ;-)

Cornwall :




Salut Laurent, 
Quand j'ai su que tu étais la vedette du « mois de » des vénérables. J'avoue avoir mis de coté le projet d'interview par chez moi. 
Je n'ai donc pas encore lu Goodbye Billy. Honte à moi !
Ma question , c'est comment « Les pilleurs d'âmes » est arrivé entre les mains de Xavier ? Désolé c'est intime. Et comment en tant qu'auteur vit-on le fait que notre roman sera le roman de lancement d'une nouvelle maison d'édition ? 

Laurent :


hello Cornwall,Oui : honte à toi ! ^^Dans mon souvenir, Xavier est venu me voir parce que quelqu'un lui avait dit que j'avais une histoire de pirates sous le coude. Mais je peux me tromper, c'est un peu loin, maintenant (2009).Je crois que le sentiment que j'ai eu (je ne peux parler pour les autres) était un mélange de fierté et d'appréhension. De fierté parce-qu'un nouvel éditeur misait jusqu'à son dernier sou sur moi, et d'appréhension à cause de la responsabilité que cela crée. Ainsi que de l'angoisse, car si le roman ne trouve pas son public, on se sent responsable de l'échec.Pour ce roman en particulier, j'ai retravaillé le texte en profondeur pour Ad Astra car il avait été relégué dans le tiroir de l'oubli depuis un certain temps et avait subi des versions successives et une genèse assez chaotique.

Sia :

Les rugosos que l'on rencontre dans Les Damnés de l'asphalte sont-ils issus d'une légende urbaine ? Et si non, pourquoi avoir choisi ce genre de bestioles ? (l'effet était très réussi, j'avais moyennement envie de les croiser dans les couloirs)

*Note à moi-même : lire le premier volume des aventures des Costa* ! 

Laurent :

Sia,Non, les Rugosos sont juste issus d'une idée que j'ai eue pour renforcer la sensation que les anciens avaient vraiment déconné dans tous les domaines. Outre la pollution, les guerres et les conflits sociaux, il me fallait enfoncer le clou de la bêtise humaine de notre époque présente.Le fait que ces créatures soient issues d'expériences militaires me semblait plus logique que de les justifier par des expérimentations pharmaceutiques ou pire : les fameuses radiations chères aux cinéastes et auteurs des 50's.En une petite centaine d'années, il aurait été impossible, en effet, qu'une nouvelle espèce, issue de manipulations ou de malformations successives puisse devenir viable.Et puis, le kidnapping par des créatures étranges est bien plus fun que si Tom et Erwan s'étaient retrouvés prisonniers d'un quelconque roitelet local ;-)

Doris :

Bonjour Laurent !
Je commence mal : je ne vous ai jamais lu, n'ai jamais lu d'interview vous concernant, et n'ai pas encore commencé "Les étoiles s'en balancent" que j'ai pourtant reçu grâce à Bookenstock (merci!). Je suis à la traîne tant côté lecture que côté écriture.
Bref. C'est donc une question tout à fait générale et à la fois très personnelle que je vais vous poser : avez-vous une "méthode" d'écriture ? Un rituel satanique élaboré ? Un plan pour la sortie de secours ?


Ok, j'en ai posé trois. Allez, jamais trois sans quatre : vous forcez-vous parfois à écrire, même si l'envie n'y est pas, afin de respecter les deadlines ?


Laurent :


Bonsoir Doris,Vous êtes toute excusée. Asimov lui-même n'a jamais lu un de mes livres ! je n'ai même pas son portable, c'est dire.Une méthode ? Il y a quelque chose, dans le mot même qui me rebute.Pourtant, il en faut, de la méthode.D'une manière globale, j'essaie de me tenir à une moyenne d'un chapitre par jour. Pour donner une idée, mon record est de 4 chapitres en une journée. Le minimum étant de 0.5.Mais, avant tout, je commence par un plan. Qu'il soit formalisé par écrit ou juste dans ma tête. Un planning de l'histoire, de ce qu'il va s'y dérouler, avec un descriptif des personnages (sexe, taille, caractère, description, lien de parenté avec les autres etc). Ensuite, je trouve une idée et une ambiance pour lancer le prologue, et c'est parti. Un plan pour la sortie de secours ? Non. Il n'y a pas de sortie de secours, hormis de terminer le roman ! ^^Quant à l'envie, il arrive parfois qu'elle manque, mais cela coïncide souvent avec une panne d'inspiration passagère - souvent liée à une incertitude sur la validité de mes choix scénaristiques.

Ramettes :

Bonjour, 
J'ai choisi pour le partenariat "Les damnés de l'asphalte" parce que ça se passait en Espagne (je suis espagnole mais la France m'a adopté !). Dans le côté psy ... J'habite un village qui s'appelle Saint Laurent (Corbières) depuis 1 an et j'ai habité 25 ans Perpignan.. D'où mon émotion lorsque j'ai vu que vous parliez de Narbonne, Port Leucate, le Boulou ... 
Ma question... vous avez juste pris une carte de France, vous avez traversé cette région et vous avez écrit votre début de périple où vous avez habité dans le coin ?
Aimez-vous la cargolade ? pour les nordiques, ce sont des escargots grillés avec de l'aïlloli, spécialité catalane. 

Laurent :

Bonjour Ramettes,

Vous êtes du coin, donc.

En fait, je n'ai que quelques souvenirs de cette belle région où nous allions camper lorsque j'étais gosse. J'y suis retourné depuis, notamment vers Sète et Montpellier mais je dois avouer que j'ai beaucoup travaillé sur Google Earth et map, et visité de nombreux sites de voyagistes et de mairies. Je procède très souvent ainsi, en me procurant également les cartes papier de l'IGN de manière à pouvoir tracer le périple de mes personnages. J'essaie, dans la mesure du possible, de contacter des amis sur place, ou même les administrations locales, qui ne rechignent pas à me fournir de la documentation.

Malheureusement, même si je le souhaitais, il ne m'est pas toujours possible de me rendre sur place. Il faudrait, de plus, que ce soit à la même saison que mon histoire.

J'espère toutefois avoir été fidèle à cette superbe région, même si je l'ai quelque peu écornée dans mon scénario ;-)La Cargolade ? je dois avouer n'en n'avoir jamais dégusté, mais vous me faites envie ! J'ai testé la Mouclade, il y a plusieurs années, dans la région de Montpellier, mais cela se fait avec des moules. 

Marie-Juliet :

Je vais revenir à une question plus sérieuse.Qu'est-ce qui t'a donné envie d'écrire des romans post-apocalyptique ? J'avoue que la description de cette France (et de l'Espagne) en ruine est assez effrayante

Laurent :

Marie-Juliet,

L'envie, comme souvent chez moi, vient d'un coup de colère. D'une énième pantalonnade de nos "dirigeants". Le tout associé à la conscience "verte" qui est la mienne et au constat que chaque fois que l'on pense avoir touché le fond, il y en a toujours un qui continue de creuser !J'avais aussi envie de faire, modestement, mon "histoire du futur", en hommage à une tradition qui s'est un peu perdue depuis les années 80 dans la SF (française, en tout cas). Je voulais montrer ce que je pensais possible de se produire. D'ailleurs, depuis le premier tome, certains évènements me donnent raison.La description que je fais de la France et de l'Espagne n'est pas pire que ce qui se déroule déjà dans certain coins de la planète. Vois les pollutions massives en Afrique, la BP dans le golfe du Mexique, Fukushima, le mercure en Amazonie et j'en passe qu'on ne sait pas. Sans parler des révolutions, des émeutes de la faim, des guerres de "religions" et des épidémies (sida et ébola, entre autres). Il n'y a pas trop à creuser, cette fois, pour trouver encore pire que mes descriptions.Il suffitd'y ajouter la fonte des glaces, le réchauffement actuel, les tornades qui augmentent de fréquence, au même rythme que les tsunamis...Les guerres actuelles laisseront bientôt place aux conflits ouverts entre multinationales ou groupes financiers.Pour l'instant, l'Europe est relativement préservée, mais l'Ukraine n'est pas si loin.


19 commentaires:

Violaine B. a dit…

Bonjour. Je commence ce mois de en remerciant le blog déjà de m'avoir fait découvrir Laurent Whale. Je ne connaissais pas du tout votre oeuvre et en lisant Goodbye Billy j'ai trouvé que vous aviez une imagination débordante. ..ou puisez vous votre inspiration? ?

Xapur a dit…

Bonjour Laurent, moi j'aimerais savoir pourquoi tu maltraites tous ces chapitres, pourquoi tant de haine ? ;)

Sia a dit…

Bonjour Laurent Whale et merci d'accepter de répondre aux questions dont même le psy ignore la réponse ! (Au passage, merci à Bookenstock).
J'ai découvert Les Damnés de l'asphalte, et la première question qui m'est venue à l'esprit est : pourquoi avoir choisi l'Espagne comme décor ? (Pourquoi pas la Creuse, la Bretagne, ou la Corse ?). La lecture m'a donné furieusement envie d'aller traîner mes savates sur les côtes catalanes.

Lune a dit…

Salut Laurent, moi je voudrais savoir qui sera le personnage célèbre qui sera au centre de la prochaine enquête des Rats de poussière ??

Mariejuliet a dit…

Bonjour Laurent,
Une question classique pour commencer : Qu'est-ce qui t'as amené à l'écriture ?

Lune a dit…

Super merci du scoop !

Dup a dit…

Et est-ce-que mini-rat de poussière sera de la partie aussi ? :))

Cornwall a dit…

Salut Laurent,
Quand j'ai su que tu étais la vedette du « mois de » des vénérables. J'avoue avoir mis de coté le projet d'interview par chez moi.
Je n'ai donc pas encore lu Goodbye Billy. Honte à moi !
Ma question , c'est comment « Les pilleurs d'âmes » est arrivé entre les mains de Xavier ? Désolé c'est intime. Et comment en tant qu'auteur vit-on le fait que notre roman sera le roman de lancement d'une nouvelle maison d'édition ?

Mariejuliet a dit…

Et maintenant une question nettement moins sérieuse : est-ce que ta promotion spéciale des Utopiales 2013 a bien fonctionné ?

Léa Touch Book a dit…

Super sympa cette interview, cela me donne vraiment envie de découvrir cet auteur :)

paikanne a dit…

Un petit mot en passant pour dire que je garde globalement un bon souvenir de Pilleurs d'Ames qui m'a pourtant fait passer par des impressions diverses au fil de la lecture ;-)

Sia a dit…

Les rugosos que l'on rencontre dans Les Damnés de l'asphalte sont-ils issus d'une légende urbaine ? Et si non, pourquoi avoir choisi ce genre de bestioles ? (l'effet était très réussi, j'avais moyennement envie de les croiser dans les couloirs)

*Note à moi-même : lire le premier volume des aventures des Costa* !

Unknown a dit…

Bonjour Laurent !
Je commence mal : je ne vous ai jamais lu, n'ai jamais lu d'interview vous concernant, et n'ai pas encore commencé "Les étoiles s'en balancent" que j'ai pourtant reçu grâce à Bookenstock (merci!). Je suis à la traîne tant côté lecture que côté écriture.
Bref. C'est donc une question tout à fait générale et à la fois très personnelle que je vais vous poser : avez-vous une "méthode" d'écriture ? Un rituel satanique élaboré ? Un plan pour la sortie de secours ?
Ok, j'en ai posé trois. Allez, jamais trois sans quatre : vous forcez-vous parfois à écrire, même si l'envie n'y est pas, afin de respecter les deadlines ?

Olivier Bihl a dit…

A défaut de nouvelles du livre du partenariat, mon article présentant ce beau mois d'octobre et mes premières questions dès que j'en ai fini avec "Billy" lol ; http://passiondelecteur.over-blog.com/2014/10/le-mois-de-revient-avec-book-en-stock-et-cette-fois-pour-laurent-whale.html

Ramettes a dit…

Bonjour,
J'ai choisi pour le partenariat "Les damnés de l'asphalte" parce que ça se passait en Espagne (je suis espagnole mais la France m'a adopté !). Dans le côté psy ... J'habite un village qui s'appelle Saint Laurent (Corbières) depuis 1 an et j'ai habité 25 ans Perpignan.. D'où mon émotion lorsque j'ai vu que vous parliez de Narbonne, Port Leucate, le Boulou ...
Ma question... vous avez juste pris une carte de France, vous avez traversé cette région et vous avez écrit votre début de périple où vous avez habité dans le coin ?
Aimez-vous la cargolade ? pour les nordiques, ce sont des escargots grillés avec de l'aïlloli, spécialité catalane.

Mariejuliet a dit…

Je vais revenir à une question plus sérieuse.
Qu'est-ce qui t'a donné envie d'écrire des romans post-apocalyptique ? J'avoue que la description de cette France (et de l'Espagne) en ruine est assez effrayante.

Nahe a dit…

Bonjour Laurent,

je viens de terminer "Goodbye Billy", emballée par ce titre et cette série des Rats de poussière. Grâce à Lune, je n'aurai pas à demander qui sera le prochain personnage central et j'ai déjà hâte de découvrir ce roman.

Dans un autre domaine, quel lecteur es-tu ? Des auteurs, des genres favoris ?

Violaine B. a dit…

Et moi pour faire original : quels sont les 10 livres qui vous ont marqués?

Lyra Sullyvan a dit…

Bonsoir Laurent !
Nous nous sommes croisés aux Caves Alliés il y a deux semaines et j'avais acheté Les Pilleurs d'âmes, que vous avez estampillé d'un tampon pirate, arrr! Il se trouve que je l'ai lu très rapidement (c'est assez rare que je lise un livre aussi rapidement après son achat, pour être honnête :P). Le mélange piraterie et SF n'est pas un qui me serait venu spontanément, et qui m'intriguait, mais ça fonctionne vraiment très bien. Vous souvenez-vous de comment l'idée vous est venue ?

A la fin de l'histoire, dans le lexique, je me suis demandé si certains des noms que vous mentionniez étaient issus de personnes réelles et j'ai été ravie de découvrir que oui ! J'aime me cultiver en lisant des romans, alors merci pour la petite leçon de piraterie ! ^^