jeudi 31 octobre 2013

Bilan du Mois de David Khara










Les Mois de se succèdent, ils sont tous différents en fonction de la personnalité de l'auteur invité, mais ils ont deux points communs indéniables: le plaisir et la tristesse !


Un énorme plaisir que de découvrir ces auteurs sous des facettes différentes (en un mois, on a le temps de poser des questions très variées et éclectiques). La tristesse car c'est toujours un crève-cœur pour nous que de clore un "Mois de". 


Ce mois-ci ne déroge pas à la règle et ce fût un énorme plaisir que de passer le mois d'octobre en compagnie de David Khara. Nous avons découvert un auteur fabuleux mais aussi un homme extraordinaire, sympathique, plein d'humour et de gentillesse.




Ce Mois de a donné quatre tomes d'interview que vous pouvez retrouver ici: ITV 1, ITV 2, ITV 3 et ITV 4 et des chroniques








Partenariat 10/18





Autres chroniques

















N.B. :Certaines personnes qui ont été sélectionnées pour le partenariat n'ont pas publié de chronique, ni ne sont venues poser des questions ou même nous prévenir d'un soucis. Ça commence à nous chauffer les oreilles. Exclusion des partenariats futurs c'est un premier point, mais de plus de plus ça nous oblige à nous poser des questions sur la suite de ces rendez-vous .... On y reviendra par ailleurs !

2 commentaires:

Artikel Unbekannt a dit…

Tous mes remerciements et félicitations à celles et ceux qui ont initié, puis entretenu, cette passionnante et chaleureuse conversation avec David. Il se trouve que j'ai la chance de bien connaître l'auteur (j'ai lu et chroniqué tous ses livres), et l'homme qui les a écrits (je crois même que nous sommes amis: voilà pourquoi j'employais le mot "chance"). Néanmoins, la lecture assidue de cette interview m'a permis d'apprendre des choses que j'ignorais, preuve que le gaillard a plus d'un tour dans son sac (ce qui ne surprendra guère ceux qui lisent ses romans ;)), et qu'il est toujours disponible pour ses lecteurs. Alors David, navré de te contredire, mais s'il n'y avait dans les salons que d'"infâmes connards" comme toi, lesdits salons n'auraient aucun problème de fréquentation: ils seraient toujours combles !

En guise de post-scriptum, je me permettrai de revenir sur un point capital concernant David: la notion de fidélité en amitié. Une question concernant Rivière Blanche, merveilleux éditeur s'il en est, a été posée à la fin de l'interview 4. Et comme l'auteur, avec toute la pudeur qui le caractérise, n'y a répondu que de façon allusive (et toutefois prometteuse), je profite de l'occasion pour préciser ce qui doit l'être: si le premier tome des Vestiges de l'Aube s'est retrouvé chez Michel Lafon, c'est non seulement avec l'accord, mais aussi avec la bénédiction de Philippe Ward et Jean-Marc Lofficier. En effet, Rivière Blanche, malgré ses immenses qualités, ne dispose pas des moyens suffisants pour gérer un succès comme celui qu'a connu ce roman. Voilà pourquoi Philippe et Jean-Marc sont toujours heureux de voir un auteur s'émanciper de la Rivière après l'avoir édité. Cela signifie juste que les ventes sont devenues conséquentes, et qu'ils ont bien fait leur travail de découvreur de talents. Et, surtout, cela ne veut pas dire que les relations s'interrompent du jour au lendemain. Depuis que je connais David, nous n'avons pas eu une seule conversation sans qu'il soit question de Rivière Blanche. Pas une. Or croyez-moi, des conversations, nous en avons eu un certain nombre, sinon un nombre certain. Et l'auteur se comporte exactement de la même façon dans les sphères publiques, que ce soit sur un salon (je vous garantis que des retrouvailles entre Philippe Ward et David Khara sont toujours un grand moment d'émotion) ou lors d'interviews, où jamais il n'omet d'évoquer Rivière Blanche. Ce qui, pour quelqu'un dont l'un des thèmes de prédilection est le travail de mémoire, est il est vrai d'une absolue cohérence. Et qui prouve s'il en était besoin que jamais cet homme-là n'oubliera d'où il vient.

Phooka a dit…

Merci beaucoup pour ce commentaire et ces précisions !!