lundi 4 juin 2012

Brage de Bragelonne

Ça sonne comme un nom de parfum et c'est presque ça.
de l'extrait de fantasy et de SF par Bragelonne.
Des nouvelles en numériques.

Voici les premières sorties (trouvées chez immatériel.fr)
Une vingtaine de pages pour chaque nouvelle et 0.99 euros



 

La petite nouvelle qui suit vous en dit plus sur l’un des personnages d’Elamia, un jeune gaillard nommé Paq, à qui il arrive une drôle d’aventure et peut se lire indépendament…

Né en 1967, Érik Wietzel est journaliste, musicien et un redoutable cinéphile (allez donc le battre au quizz, tiens !). Passionné par la littérature, il a rapidement montré la multiplicité de son talent d’écrivain en publiant du roman policier et fantastique, ainsi que quelques nouvelles, dont un récit de Fantasy inouï, Bien-Être, Travail Envié, allégorie vertigineuse de la Shoah. Érik est également un garçon charmant, loué par ses pairs, salué par ses voisins (rennais) et fui par les imbéciles. Bien fait de sa personne, il dispose d’un humour ravageur et d’un œil pétillant qui en ont envoûté plus d’une (au moins deux). Autant de potentiel littéraire et de qualités humaines dans un seul individu est un petit peu agaçant. Mais soyons sérieux et revenons à son œuvre en cours : Érik s’est à présent lancé dans Elamia, un cycle de Fantasy richement élaboré qui a tout pour emballer les fans. Intelligence des intrigues, souffle épique, univers exotique, idées formidables et uniques, autant de qualités qui font d’Érik le nouveau grand du genre en France.


Dans la nouvelle présentée ici, Peter F. Hamilton nous fait voir que, contrairement aux croyances populaires, être visitée par un ange n’est pas toujours un événement heureux…

L’auteur britannique Peter F. Hamilton publia son premier roman, Mindstar Rising, en 1993, suivi assez rapidement par les deux autres tomes de sa trilogie « Greg Mandel », A Quantum Murder et The Nano Flower. Mais ce fut le roman suivant, Rupture dans le réel, qui eut un succès international retentissant. Un énorme space opera moderne, tellement gros qu’il fut divisé en deux pour la publication aux États-Unis et en France, qui n’était que le début du cycle « L’Aube de la nuit ». Ce cycle, d’une envergure et d’une ambition époustouflantes, comporte deux autres volumes massifs, L’Alchimiste du neutronium et Le Dieu nu, qui grimpèrent à leur tour en haut de la liste des ventes. Grâce à cette série, Hamilton est devenu l’un des chefs de file du nouveau space opera, aux côtés de Dan Simmons, Iain Banks, Paul McAuley, Gregory Benford, Alastair Reynolds et autres. Plus récemment, il a créé un autre univers tout aussi riche et dense dans sa saga du « Commonwealth », qui comprend les quatre tomes de L’Étoile de Pandore (Pandore abusée, Pandore menacée, Judas déchaîné et Judas démasqué), puis la trilogie du « Vide » (Vide qui songe, Vide temporel, et encore à venir, The Evolutionary Void). Les autres livres de Hamilton incluent les romans Dragon déchu et Misspent Youth, ainsi que le recueil de nouvelles A Second Chance at Eden.



" Révélation " pour Le Monde, " Surdoué " pour Le Nouvel Observateur, " Écrivain majeur " pour The Guardian, Michael Marshall nous offre des nouvelles qui démontrent toutes les facettes de son talent. Thriller, horreur, fantastique, littérature générale ou science-fiction, aucun genre n'est à l'abri de son imaginaire. Car c'est par la forme courte que Michael Marshall s'est d'abord illustré, remportant prix littéraire sur prix littéraire, et il y est toujours fidèle - entre chaque roman il continue de produire des nouvelles, incapable de faire taire ni ses mains ni cette voix si unique qui est la sienne, impressionnant jusqu'à Stephen King lui-même, pourtant roi de l'exercice. À travers des aspects aussi quotidiens qu'Internet, la vie de couple ou un homme qui dessine des chats à la craie sur le sol, Michael Marshall ne souhaite qu'une chose : vous toucher au plus profond. Car qui sait ce que l'homme cache en son sein ?

Michael Marshall est le prodige britannique de la littérature de genre : il fait éclater la SF avec Avance rapide ou Frères de chair avant de s'imposer comme l'un des grands maîtres du thriller et de la terreur avec Les Hommes de paille Le Sang des anges et Les Intrus qui trustent les listes de meilleures ventes en France et dans le monde entier. Habitué des prix littéraires, il a également vu les droits de deux de ses romans achetés par Steven Spielberg. Il vit à Londres, avec s femme et son fils.









La nouvelle présentée ici décrit une tentative désastreuse de prendre d’assaut le Grand Vaisseau qui a failli le réduire en miettes. Reed nous révèle ce qu’il est advenu d’une poignée de survivants humains de la bataille qui se trouvent isolés à l’extérieur du Vaisseau, depuis des générations. Ils ont dû créer leur propre société sur la coque du navire – un endroit qui, comme on le constatera, ne manque ni de merveilles, ni de menaces…

Robert Reed publia sa première nouvelle en 1986 et il est devenu très vite un contributeur régulier de The Magazine of Fantasy and Science Fiction et Asimov’s Science Fiction, tout en vendant beaucoup de textes à d’autres revues et anthologies. Reed est sans doute l’un des auteurs les plus prolifiques en ce moment, particulièrement en ce qui concerne les nouvelles ; Stephen Baxter et Brian Stableford sont ses seuls concurrents sérieux à ce titre. Mais – tout comme Baxter et Stableford –, il a su placer la barre très haut en matière de qualité, ce qui n’est pas du tout facile. Des récits de Reed comme « Décence », « Le Sauveur », « La Forme de toute chose », « Les Rémoras » , « Chrysalide », « Fouette-queue », « Sister Alice », « Brother Perfect », « The Utility Man », « Birth Day », « Blind », « The Toad of Heaven », « Stride », « Guest of Honor », « Waging Good » et « Killing the Morrow » comptent parmi les meilleures nouvelles de SF parues dans les années 1980 et 1990. Ses deux recueils en anglais, The Dragons of Springplace et The Cuckoo’s Boys, ainsi qu’un recueil en langue française, Chrysalide, offrent des sélections de premier choix. Sa production comme romancier est également impressionnante, avec onze titres parus depuis la fin des années 1980 : The Lee Shore, La Jungle hormone, Le Lait de la chimère, The Remarkables, La Voie terrestre, Le Voile de l’espace, Béantes Portes du ciel, An Exaltation of Larks, Sister Alice, ainsi que Le Grand Vaisseau et sa suite, Un puits dans les étoiles. Reed vit avec sa famille à Lincoln, dans le Nebraska. Les nouvelles de la série « Sister Alice », dans lesquelles des êtres humains issus d’une civilisation technologiquement avancée et dotés de pouvoirs quasiment divins se livrent à des intrigues et des luttes politiques à travers des millions d’années, ont été réunies dans le roman « mosaïque », Sister Alice. Elles constituent le premier grand apport de Reed au New Space Opera. En 1994, il a lancé un autre long cycle d’histoires, qui continue encore aujourd’hui, sur le thème du Grand Vaisseau : un engin spatial de la taille de Jupiter, trouvé à la dérive dans les profondeurs de l’espace par des explorateurs humains. Il est ensuite reconverti pour devenir une sorte d’immense navire de croisière, qui part pour un Grand Tour de la Galaxie (un voyage qui durera des millénaires), avec des millions de passagers à bord, des humains et des extraterrestres, appartenant à une multitude de races.
 






2 commentaires:

Lune a dit…

L'homme qui dessinait des chats ! Rien que le titre m'interpelle, mais quand je vois que l'auteur est celui d'Avance rapide, je note !

Phooka a dit…

oui rien que le titre interpelle!